« 𝐉𝐞 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐝𝐨𝐧 𝐚𝐮 𝐩𝐞𝐮𝐩𝐥𝐞 𝐛𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚𝐛è 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐣’𝐚𝐢 𝐩𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭 𝐦𝐨𝐧 𝐦𝐚𝐠𝐢𝐬𝐭è𝐫𝐞. 𝐏𝐥𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐮𝐥𝐢è𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 à 𝐥𝐚 𝐟𝐚𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐧 𝐟𝐫è𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐦𝐢 𝐓𝐡𝐨𝐦𝐚𝐬 𝐈𝐬𝐢𝐝𝐨𝐫𝐞 𝐍𝐨ë𝐥 𝐒𝐚𝐧𝐤𝐚𝐫𝐚 » a écrit mardi l’ancien président 𝐁𝐥𝐚𝐢𝐬𝐞 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐚𝐨𝐫é à travers un message lu par le porte parole du gouvernement Lionel Bilgo.
Disant assumer et déplorer du fond du cœur toutes les souffrances et drames vécues par toutes les victimes durant ses mandats à la tête du Burkina, Blaise Compaoré a demandé aux familles de lui accorder leur pardon.
Les députés ont adopté, lundi, la loi d’orientation de l’Education nationale, lors d’une séance plénière, présidée par le 2ème vice-président de l’Assemblée nationale, Essouvi Ould Cheîbani.
Défendant le texte, le ministre de l’Education nationale et de la Réforme du Système éducatif, porte-parole du gouvernement, M. Mohamed Malaînine Ould Eyih, a précisé que cette loi est intervenue pour mettre un terme à la détérioration alarmante du système éducatif national et son incapacité à relever les défis auxquels le pays est confronté, une situation que les réformes successives n’ont pas réussi à la remédier depuis l’indépendance.
Il a ajouté : Le programme Taahoudati du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a été élaboré pour corriger cette situation et faire de la réforme éducative un objectif capital, et mis en œuvre suivant une méthodologie scientifique.
M. Eyih a réitéré que le texte a pris en compte la consolidation de l’identité religieuse et culturelle, la préservation de la dimension régionale et l’ancrage d’un esprit de citoyenneté et de respect de la diversité.
Les députés ont plaidé pour l’offre des garanties pour la mise en œuvre de la loi et la réalisation de ses objectifs, compte tenu des résultats des réformes précédentes.
Ils ont souligné la nécessité d’appliquer cette loi, qui selon eux, qui rend l’enseignement obligatoire, lutte contre l’abandon scolaire et créé des conditions propices à l’éducation des enfants de manière transparente et équitable, et la lutte contre le travail des mineurs.
L’Assemblée nationale a, enfin, introduit certains amendements sur plusieurs chapitres de la loi.
«Un délai supplémentaire de trois mois est accordé aux étrangers vivant en Mauritanie pour leur permettre de régulariser leur situation de séjour et bénéficier de tous les droits garantis par la loi».
C’est ce qu’a déclaré, lundi, à l’AMI l’administrateur directeur général de l’Agence nationale du Registre de la Population et des documents sécurisés (ANRPTS), M. Sidi Ali Ennavae, en marge l’ouverture au stade olympique de Nouakchott d’un centre d’Etat civil exclusivement réservé à l’accueil des étrangers désireux de rester en Mauritanie, afin régulariser leur situation.
L’ouverture du centre a été supervisée par le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, M. Mohamed Ahmed Ould Mohamed Lemine.
L’administrateur de l’ANRPTS a ajouté que cette initiative s’inscrit dans le cadre de la politique générale de l’Etat, en application des orientations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, visant à renforcer nos liens avec les tous pays du monde en facilitant à leurs ressortissants l’accès à tous les droits prévus par la loi internationale.
Enfin M. Ennavae a déclaré que la mesure prise aujourd’hui était au cœur des tâches confiées à son agence, à savoir le contrôle du registre national de la population des titres sécurisés, qui constitue un pilier fondamental de l’approche sécuritaire de la Mauritanie ; approche destinée à renforcer la sécurité et la paix civile dans tout le pays.
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