À Bruxelles | Le discours du président mauritanien SEM. Mohamed Cheikh El Ghazouani

Le Président de la République, SEM. Mohamed Cheikh El Ghazouani, a prononcé, ce mardi à Bruxelles, un important discours devant les participants à la 15e édition des Journées Européennes du Développement qui se tient du 21 au 22 juin dans la capitale belge sous le thème «Global Gateway: construire des partenariats durables pour un monde connecté».

Voici le texte intégral du discours:

« Altesses royales, Majestés;

Excellence Monsieur Charles Michel, Président du Conseil européen;

Excellences Mesdames et Messieurs les Chefs d’État et de Gouvernement; Mesdames, Messieurs;

Permettez-moi, d’abord, de remercier l’Union Européenne en la personne de Mme Ursula Von Der Layen pour l’aimable invitation qu’elle nous adressée afin de prendre part à la 15e édition des Journées Européennes du Développement, qui se tient sous le thème «Global Gateway : construire des partenariats durables pour un monde connecté», tout comme pour la chaleur et la qualité de l’accueil.

Excellences, Mesdames et Messieurs;

Les dramatiques conséquences de la Covid-19 ont fortement mis en lumière l’urgente nécessité de renforcer la résilience des chaines d’approvisionnement, et de relever les défis mondiaux liés aux changements climatiques, à la pauvreté, à l’insécurité, et au déficit d’infrastructures, de gouvernance et d’inclusivité du développement. Défis que la guerre en Ukraine est venue fortement exacerber en perturbant les chaines logistiques d’approvisionnement, occasionnant ainsi une très forte hausse des prix des denrées alimentaires et produits énergétiques.

En centrant son intervention sur le développement des liaisons intelligentes, propres et sûres, dans le domaine du numérique, de l’énergie et des transports, tout comme sur le renforcement des systèmes de santé, d’éducation et de recherche, l’Union Européenne, à travers le Global Gateway, affirme résolument sa volonté de contribuer efficacement à relever tous ces défis. Ces priorités sont aussi celles du continent africain. Nous notons, avec beaucoup d’espoir, l’annonce faite de consacrer 150 milliards d’euros au Volet Africain de ce programme.

Le Global Gateway, dans ses objectifs cibles, traduit une remarquable convergence des priorités entre la Mauritanie et l’Union Européenne, lesquelles ont toujours été unies par des relations de coopération fortes, diversifiées, saines et constructives que cimentent le partage des valeurs communes et l’excellence des relations bilatérales avec tous les pays membres de l’Union.

Je profite de cette occasion pour saluer, ici, l’appui que l’Union européenne n’a cessé d’apporter à mon pays et plus globalement aux pays du Sahel dans la lutte contre le terrorisme et pour le développement.

Excellences, Mesdames et Messieurs;

Jouissant d’une excellente position stratégique, (ouverte sur l’Europe et charnière entre le Maghreb et l’Afrique subsaharienne), la Mauritanie, en raison de son immense potentiel de ressources minières, énergétiques, halieutiques et agropastorales, ainsi que ses énormes besoins en infrastructures, en développement de la santé, de l’éducation et en renforcement de résilience économique et sociales, trouve dans le Global Gateway une opportunité de premier ordre et œuvrera résolument pour devenir un partenaire essentiel dans sa mise en œuvre.

La Mauritanie, pays de paix et de stabilité, est un ami fiable de l’Union Européenne. Elle a fait du développement du capital humain, de la lutte contre la pauvreté, la marginalisation et la précarité, un important pilier de sa stratégie de développement national, consacrant à la santé, à l’éducation et à l’amélioration des conditions de vie des plus démunis, une attention particulière et des moyens de plus en plus importants.

Cependant, en fournissant d’énormes efforts pour améliorer les conditions de vie de nos citoyens les plus démunis, nous avons veillé à respecter les exigences d’une politique budgétaire responsable, tout comme nous avons œuvré à consolider l’ancrage de l’état de droit, des libertés individuelles et collectives et de la bonne gouvernance.

En outre, mon pays s’est fortement engagé dans la lutte contre le changement climatique, la sécheresse et la désertification. Nous venons ainsi de réviser notre contribution au climat, et bien que nos émissions de gaz à effet de serre soient très marginales, nous prévoyons de les réduire, à l’horizon 2030 de 11%, par rapport à 2018.

Excellences, Mesdames et Messieurs;

La Mauritanie s’est fixée pour ambition de se positionner comme un acteur important dans la transition énergétique en augmentant son mix énergétique et en exploitant son potentiel d’énergies renouvelables. A cet égard, le lancement d’un ambitieux et important programme de développement de l’hydrogène vert pour offrir une source alternative et durable d’énergie propre constitue une importante opportunité de coopération avec l’Europe, renforcée davantage par notre proximité géographique.

Parallèlement, nous avons adopté des orientations stratégiques axées sur:

i) Le développement du numérique, auquel vient d’être récemment dédié un département ministériel à part entière;

ii) Les infrastructures et les secteurs productifs;

iii) Le renforcement de notre secteur privé;

iv) La promotion des Partenariats publics/privés,

v) L’amélioration du climat des affaires, en rendant notre code d’investissement de plus en plus attractif,

vi) La transformation en profondeur de certains secteurs clés comme l’agriculture, l’élevage et l’industrie.

Excellences, Mesdames et Messieurs;

Nous sommes conscients qu’en ces temps difficiles d’insécurité et de dérégulation des marchés, nous avons plus que jamais besoin de partenariats solides, ancrés dans des valeurs partagées pour transformer ces innombrables opportunités en outils de croissance et de réduction de la pauvreté.

Pour terminer, je voudrais saluer le leadership de Leurs Excellences Mr Charles Michel et Mme Ursula Von Der Layen pour le lancement de cette importante initiative de Global Gateway, et réaffirmer, dans le même temps, ma ferme volonté d’œuvrer à consolider et à diversifier davantage les relations de coopérations qui unissent mon pays, la Mauritanie, à l’Union Européenne.

Je vous remercie».

©️ Crédit source : Page FB Présidence de la RIM https://www.facebook.com/100076178417336/posts/156154066933873/

● Résultats législatives : qui est Rachel Keke (Nupes) la femme de ménage qui a désormais un siège de députée à l’Assemblée ?

Investie par la Nupes, Rachel Keke, militante CGT, devient la première femme de chambre à accéder à la fonction de députée en France.

« Être la voix des sans-voix ». C’était l’ambition que Rachel Keke s’était fixée en concourant pour un siège à l’Assemblée nationale. Dimanche 19 juin, elle a été élue avec 50,3% des voix face à la candidate Ensemble!, l’ancienne ministre des Sports, Roxana Maracineanu.

Figure de la lutte des grévistes de l’Ibis Batignolles, la femme de chambre et syndicaliste Rachel Kéké a été victorieuse sous la bannière Nupes.

Âgée de 47 ans, Rachel Keke est née dans une commune au nord d’Abidjan (Côte d’Ivoire), d’une mère vendeuse de vêtements et d’un père conducteur d’autobus. Quand sa mère meurt, Rachel Keke se retrouve en charge de ses frères et sœurs, à l’âge de 12 ans. À 26 ans, elle arrive en France, en 2000. En près de 20 ans, elle a exercé plusieurs métiers : coiffeuse, femme de chambre, puis gouvernante. Mère de cinq enfants, elle est naturalisée en 2015 et obtient donc la nationalité d’un pays qu’elle « adore ».

« Faire trembler l’Assemblée »

En 2019 quand elle a porté les revendications de ses collègues femmes de chambre de l’hôtel Ibis Batignolles, qui ont lutté pendant 22 mois pour de meilleurs salaires et conditions de travail. La militante CGT s’était alors mobilisée à leurs côtés face au « mépris » de la direction. C’est à ce moment-là qu’Eric Coquerelle, député LFI avait fait sa connaissance : « Elle est ce que j’appelle une leader de masse (…). Elle a quelque chose qui magnétise, elle est forte, elle a les mots justes ».

Cette année, elle a lancé sa campagne pour les législatives depuis les Sorbiers, une cité de Chevilly-Larue dans le Val-de-Marne. Elle se définit comme « féministe » et « défenseuse des gilets jaunes ».

Dimanche soir, elle a célébré sa victoire, promettant de « faire trembler l’Assemblée ».

La rédaction avec AFP

©️ Crédit source : https://www.google.com/amp/s/www.ladepeche.fr/amp/2022/06/19/resultats-legislatives-qui-est-rachel-keke-nupes-la-femme-de-menage-qui-a-desormais-un-siege-a-lassemblee-10383453.php

● Les propos polémiques de Wenger | La réaction d’un dirigeant de club mauritanien, Moussa Khairy.

Arsene Wenger, (une regrettable sortie à l’égard du football africain), (les élucubrations d’un sexagénaire sur les talents africains) ….
« Kylian MBappé a des origines africaines, mais il a été formé en Europe. S’il était né au Cameroun, il ne serait pas devenu ce joueur (…) Il y a l’Europe et le reste du monde, et le reste du monde a besoin d’aide, sinon nous perdrons trop de talent ». Dixit Arsene Wenger
Arsene Wenger, entraineur français, âgé de 72 ans, et presque un pied dans le troisième âge, respecté jusqu’ici. Personnellement, j’avais beaucoup de respect pour cet homme dont on disait beaucoup de bonnes choses. Mais comme on dit, « chassez le naturel, il revient au galop ».
Visiblement en Occident, les techniciens ou les grands dirigeants du football continuent de regarder notre continent de haut. Il leur arrive de dire, comme c’est le cas aujourd’hui avec Arsene Wenger par exemple, qu’un joueur né en Afrique ne peut pas avoir ni le talent ni l’effort nécessaire, qu’il ne peut pas se former et s’instruire au fil des ans. Naître aujourd’hui en Afrique n’apporterait rien en terme de talent, de génie et de virtuosité, par rapport à celui qui serait né en Europe, à en croire ces dirigeants.
Je trouve que c’est une sortie malheureuse et un irrespect total, d’abord en termes de sacrifice des africains. C’est aussi une insulte au bon sens et une insulte à l’avenir, et surtout une insulte par rapport à tous ces jeunes africains qui font aujourd’hui le bonheur et les beaux jours du football européen et américain, du football mondial en gros.
Dire que s’ils étaient nés en Afrique, ils n’auraient pas eu le talent qu’à MBappé, c’est oublier que le talent est inné et qu’il peut éclore partout ; il ignore les nationalités, les races, les cultures et les géographies. C’est surtout faire la sourde oreille et oublier des grands noms du football africain qui ont brillé par leur talent en Europe et dans le monde, comme Samuel Et ’O, Georges Weya, Didier Drogba, pour ne citer que ceux-là.
Donc tous ces grands noms n’existeraient pas parce qu’ils sont nés en Afrique et non en Europe ???!!.
Il s’agit là d’une vision tronquée qui cache mal et trahit un peu la position scandaleuse de certains dirigeants occidentaux à l’égard du continent.
Oui, M. Arsene Wenger, l’Afrique a des talents. Le continent continuera à en produire. Sachez enfin, que l’avenir du football se construit et se construira en Afrique.

©️ Crédit source FB : https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=6216920771657662&id=100000194010652

✔️Pèlerinage de La Mecque : les règles changent, pour le meilleur et pour le pire ?

~~Une nouvelle procédure d’obtention des visas pour les candidats au grand pèlerinage de la Mecque pourrait mettre de nombreuses agences de voyages occidentales sur le carreau et empêcher des milliers de pèlerins français d’accomplir le cinquième pilier de l’islam. Certains observateurs saluent toutefois une initiative destinée à mettre fin aux abus qui gangrènent le business du Hajj.

C’est une petite révolution dans l’organisation du pèlerinage de la Mecque. Après deux éditions interdites aux étrangers pour cause de pandémie de Covid-19, le Hajj 2022 aura lieu du 7 juillet au 12 juillet avec un tout nouveau système de demandes de visas pour les croyants originaires des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, d’Europe et d’Australie.

Pour espérer accomplir le cinquième pilier de l’Islam, les musulmans vivant dans ces pays occidentaux sont passés cette année par la plate-forme numérique Motawif, la seule habilitée à fournir par tirage au sort des visas pour le Hajj. Les candidats devaient remplir deux conditions pour valider leur inscription : être vaccinés contre le Covid-19 et être âgés de moins de 65 ans.

Alors que les derniers résultats de cette loterie aux visas sont attendus le 18 juin, des milliers de musulmans français craignent de manquer le pèlerinage cet été. Car il n’y aura pas de places pour tout le monde : le quota 2022 de pèlerins français a été fixé à 9 200, contre plus de 20 000 habituellement.

Agences de voyages hors-jeu

Jusqu’à présent, les visas étaient accordés par les autorités du royaume wahhabite par l’intermédiaire d’agences de voyage privées. Avec Motawif, ces entreprises se retrouvent brutalement évincées de l’organisation du pèlerinage.

La Coordination des organisateurs agréés Hajj de France (CHF), qui regroupe 70 sociétés, a exprimé début juin dans un communiqué son « incompréhension de cette démarche troublante et comportant des risques très importants quant au bon déroulement du pèlerinage au départ de la France ».

« Les agences sont dans une phase où elles n’arrivent plus à se projeter. On part sur des situations de quasi faillites pour plusieurs d’entre elles », explique un responsable cité par SaphirNews, site spécialisé dans l’actualité du monde musulman.

Cependant, l’initiative saoudienne n’est pas une surprise totale pour les agences. « Cela fait plusieurs années que cette réforme du pèlerinage se prépare, mais les agences ne s’attendaient pas à une décision aussi soudaine, et surtout pas à la dernière minute », explique Leïla Seurat, chercheure associée à l’Observatoire des mondes arabes et musulmans (Omam), autrice d’une étude sur le marché du pèlerinage à La Mecque.

Escroqueries à La Mecque
Selon une source saoudienne citée par l’AFP, ce nouveau système d’attribution des visas a pour objectif de lutter contre les escroqueries de « fausses agences » qui s’emparent de l’argent de pèlerins.

Des arnaques et pratiques commerciales trompeuses que dénoncent en France, depuis 2015, Omar Dakir, président de l’Association culturelle d’entraide et de fraternité (Acef). Il cite en exemple des « agences non immatriculées qui vendent des forfaits à des prix exorbitants et obtiennent des visas avec la complicité d’agences agrées ».

Selon lui, le nouveau système mis en place par les autorités saoudiennes est « une excellente nouvelle » pour faire le ménage dans ce business du Hajj. « Pendant des années, on a parqué des citoyens français de confession musulmane dans des avions et des hôtels, sans garanties financières ni protection juridique. C’est de la mise en danger de la vie d’autrui », estime Omar Dakir.

« Pour le coup, les Saoudiens normalisent et rendent beaucoup plus transparent le système, alors que beaucoup d’argent circulait au noir », affirme de son côté Didier Leschi, ancien chef du bureau central des cultes au ministère français de l’Intérieur, auprès du site d’actualité religieuse La Croix Africa.

Côté prix, trois forfaits sont disponibles pour les musulmans résidant dans la zone occidentale et s’échelonnent de 6 200 euros à 9 900 euros pour des séjours d’environ trois semaines.

Reprise en main
En supprimant des intermédiaires, le royaume saoudien cherche également à maximiser les revenus colossaux générés par le tourisme religieux ainsi qu’à diversifier son économie.

Avant la pandémie, les deux principaux pèlerinages musulmans, le Hajj et la Oumra, rapportaient quelque 12 milliards de dollars (10,2 milliards d’euros) par an à l’Arabie saoudite.

« L’Arabie saoudite veut reprendre en main ce marché pour bénéficier directement des échanges avec le pèlerin. Cette réforme s’inscrit dans le plan Vision 2030 qui a pour objectif de développer le tourisme afin de préparer l’après-pétrole », analyse Leïla Seurat de l’Omam.

Reste à savoir si les Saoudiens seront capables de se substituer aussi facilement aux agences occidentales, alors que subsistent de nombreux points d’interrogation sur la nouvelle organisation et l’accompagnement dont bénéficieront les fidèles. « Les agences occidentales jouent sur la peur des gens en affirmant qu’il n’y aura pas de guides sur place, mais c’est complètement faux », rétorque Omar Dakir, le président de l’Acef.

« Il n’y aura plus de cohésion au sein de groupes de pèlerins français qui voyagent ensemble », précise toutefois Leïla Seurat. « Les tentes [dans lesquelles dorment les pèlerins à Mina après la Mecque] étaient organisées en fonction de la nationalité. C’est difficile de savoir comment ils feront cette année. Cela risque d’être un sacré pataquès ».

Pour cette édition 2022, l’Arabie saoudite a autorisé la venue d’un million de pèlerins étrangers ou nationaux, contre 2,5 millions avant la pandémie de Covid-19.

©️ Crédit source : https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20220617-p%C3%A8lerinage-de-la-mecque-les-r%C3%A8gles-changent-pour-le-meilleur-et-pour-le-pire?ref=fb_i

● Rétro 12 juin 2021 : Le leader abolitionniste mauritanien auprès des déplacés victimes d’esclavage par ascendance au Mali.

Rétro – Bamako Mali 12 juin 2021 | La communication du leader d’IRA 🇲🇷 lors de sa visite aux déplacés victimes de l’esclavage par ascendance. Une prise de parole historique par laquelle le député mauritanien Biram Dah Abeid interpelle les élites africaines sur les manquements historiques concernant l’engagement contre l’esclavage intra-africain.

● Place : Cité des enfants.

©️ Source média page Bamako Bamada

🟥 Liens utiles : 👇🏼 la pétition sur l’affaire de 4 pères de famille anti-esclavagistes tués à Djandioumé le 1 septembre 2020
https://www.change.org/p/united-nations-esclavagisme-par-ascendance-et-atrocit%C3%A9s-en-milieu-sonink%C3%A9-au-21%C3%A8me-si%C3%A8cle?recruiter=false&utm_source=share_petition&utm_campaign=psf_combo_share_initial&utm_medium=whatsapp&utm_content=washarecopy_24716064_fr-FR%3A3&recruited_by_id=e909d1a0-f784-11ea-8fcf-79bb7a7891fd

http://rmi-info.com/entretien-de-rmi-avec-koundou-soumare-de-ganbanaaxun-fedde/

✍️🏿 KS pour le BLOG

● « Sabri Chidekh, ambassadeur du Paris Saint Germain dans la tourmente après ses tweets racistes révélés »



L’ambassadeur du Paris Saint Germain, Sabri Chidekh dénommé “Sabri parisien ou rien » connu pour ses analyses après-match avec pleines d’énergie, se retrouve au milieu dans des affaires très délicates suite à la divulgation de tweets racistes et negrophobes.

L’un des plus grands ambassadeurs auprès de la jeunesse de banlieue, Sabri, 30 ans, de parents algériens se retrouve dans une tempête après la révélation de tweets négrophobes datant de 2013. Celui qui s’affichait en mai dernier aux côtés de Mbappé, Gana Gueye ou encore Kimpembe à visiblement un problème avec leur couleur de peau et la culture de tous ceux et celles qui leur ressemble. Ce dernier n’a pas hésité à montrer son dédain à l’égard des noirs en se moquant de certains comportements et modes de vie des populations noires dont la plupart sont des clichés hallucinants: “ Hurler dans le métro ça parle fort, ça rigole mais personne ne comprend vu qu’il parle sa langue” ou encore “Faire un enfant à une meuf et se barrer sans assumer” sont une partie de ses propos avancés envers les noirs (d’ou le hashtag #délires de noirs).

Mais au-delà de la violence de ses propos, celui qui est l’ambassadeur du PSG depuis 2 ans est cité pour des affaires sales: escroqueries, trafic de drogue, pari sportif, arrangement avec l’équipe, prostitution. Le très-suivi Sabri s’est récemment pris le bec avec le très sérieux journaliste Romain Molina concernant ses informations sur le PSG et le transfert de Mbappé. Ce dernier, connu pour ses informations fiables n’a pas manqué l’occasion de dévoiler la nature du personnage Sabri, tant suivi par les jeunes fans du Paris Saint Germin. Pour sa défense Sabri nie l’implication des faits, nombreux sont ceux qui l’attaquent via des tweets révélateurs. Une chose est sûre : l’ambassadeur s’est fait plusieurs ennemis dont la mère du célèbre joueur Kylian Mbappé, qui ne le supporte pas.

Selon nos sources, une plainte pour propos racistes va être déposée à l’encontre du PSG et de son ambassadeur Sabri.

©️ Crédit source : Page NNhttps://www.facebook.com/210978968912133/posts/7930942666915686/

✔️Le discours du président Ghazouani au sommet Africa CEO Forum à Abidjan.

Le Président de la République, SEM. Mohamed Cheikh El Ghazouani, a prononcé, mardi, devant le sommet Africa CEO Forum, un important discours dans lequel il a mis en exergue l’importance de cette rencontre pour faire connaitre les opportunités d’investissement de notre pays et de renouer le contact avec ceux et celles qui voudraient bien l’accompagner dans ses efforts de construction d’une économie forte, diversifiée, durable et inclusive.

Voici le texte intégral de cet important discours:

« Bonjour Mesdames et Messieurs ;
Je voudrais d’abord commencer par remercier la République sœur de Côte d’Ivoire et Africa CEO Forum pour l’opportunité, aujourd’hui, offerte à nos pays d’échanger directement avec un grand nombre d’investisseurs de qualité intéressés par le développement de l’Afrique.
Cette rencontre constitue pour mon pays une heureuse occasion pour faire connaitre ses opportunités d’investissement et de renouer le contact avec ceux et celles d’entre vous qui voudraient bien l’accompagner dans ses efforts de construction d’une économie forte, diversifiée, durable et inclusive.
La Mauritanie se présente à vous comme elle est un pays de paix, de stabilité, de sécurité, d’opportunités économiques et d’ambitieux développement résolument soutenu, un pays où le débat démocratique est riche, où les libertés sont respectées et les personnes, les biens et les idées circulent librement.
Avec un code d’investissement attractif et des orientations stratégiques axées sur le développement du secteur privé et le partenariat public-privé, la Mauritanie offre d’énormes opportunités d’investissement.
Aidée en cela, entre autres, par sa façade maritime de plus de 700 km avec une zone économique exclusive de 234000 km2, et un potentiel halieutique riche de plus de 600 espèces répertoriées, et un potentiel de capture permissible évalué à environ 1,7 millions de tonnes par an, son cheptel de plus de 20 millions têtes de bétail, son potentiel agricole évalué à 500 mille hectares, dont 135 mille hectares irrigués et ses ressources extractibles à fort potentiel d’exploitation, mines, pétrole, gaz, etc.
Les politiques et les réformes que nous avons engagées depuis quelques années n’ont cessé, au fil des ans, de renforcer la confiance des investisseurs et d’éveiller leur intérêt aux potentialités du pays.
Capital humain, étant un important pilier de notre stratégie de développement national, nous consacrons à la santé et à l’éducation une attention particulière et des moyens de plus en plus importants.
La manière dont nous avons géré la pandémie de la Covid-19 fut saluée par plusieurs institutions internationales, et tout en protégeant les citoyens, contribuait à une nette amélioration de notre système de santé publique, et nos efforts pour élever, sans cesse, le niveau de cette amélioration se poursuivent sans relâche.
En matière d’éducation, une réforme profonde et consensuelle est actuellement en phase de finalisation.
En outre, nous avons, ces trois dernières années, fourni d’importants efforts en vue de maitriser notre dette publique. Nous sommes confiants que nos partenaires financiers, à leur prochaine évaluation de soutenabilité de la dette mauritanienne, vont conclure qu’elle dégage un risque modéré, ce qui ouvrira la voie à une stabilité fiscale encore plus durable et une marge de manœuvre plus large pour l’investissement public.
Nous disposons d’une monnaie au cours stabilisé rehaussé à une réserve d’échanges d’un bon niveau. Certes, partout dans le monde, l’inflation augmente, et nous gérons ses effets en Mauritanie par un ensemble de mesures visant à protéger le pouvoir d’achat des plus démunis, tout en respectant les exigences d’une politique budgétaire responsable.
Nous attendons, en partenariat avec nos frères sénégalais, avec British Petrolium et avec cosmos la production du gaz dans le courant de l’année prochaine. Cela sera, aux côtés du minerai de la SNIM et de l’or par KINROSS, un autre important jalon dans la construction de l’économie nationale, une raison supplémentaire de croire à une stabilité fiscale à long terme en Mauritanie.
Dans le même ordre d’idées, il me plaît de souligner le potentiel de mon pays en matière d’énergies renouvelables et d’hydrogène vert qui suscite, actuellement, fort engagement.
Les premiers engagements ont été pris en vue d’investissements jamais connus par le passé dans notre pays. Cette voie ouvrira une nouvelle ère pour la Mauritanie. Nous-nous y préparons et nous vous invitons à explorer les opportunités d’investissement qu’elle offre.
Les réformes conduites récemment pour faciliter l’investissement privé pour encourager le partenariat public-privé, particulièrement dans le domaine des infrastructures et pour le climat des affaires, devraient accélérer le flux des investissements chez nous et précisément dans le domaine des industries extractives.
Des secteurs comme les infrastructures, l’agriculture, la pêche et les nouvelles technologies constituent pour les investisseurs de toutes nationalités de nouveaux horizons d’investissement très prometteurs.
Dans quelques instants vous seront présentés des projets sélectionnés et préparés sur la base de l’intérêt qu’ils pourraient susciter auprès d’un parterre comme le vôtre.
Je suis confiant qu’ils retiendront l’attention de plusieurs d’entre- vous, et vous assurer que le gouvernement et l’administration vous accompagneront dans leur réalisation. Et au-delà de cette présentation, vous êtes tous invités à visiter notre pays et à découvrir encore bien d’autres opportunités d’investissement sûres et rentables.
Je vous remercie ».

©️ Crédit source : https://www.facebook.com/100076178417336/posts/154446297104650/

✔️France : un mauritanien arrêté pour avoir poignardé une femme de ménage

France : un mauritanien arrêté pour avoir poignardé une femme de ménage

Taqadomy – Lundi, la police française a arrêté un homme d’origine mauritanienne, accusé d’avoir poignardé une femme de ménage dans le grand magasin Primark, en banlieue parisienne.

Selon les enquêteurs, l’homme, un ressortissant mauritanien de 48 ans, a poignardé sa collègue au sein d’une entreprise de nettoyage, mardi dernier, à la suite d’une querelle, aux abords du magasin Primark, en Seine et Marne, à l’est de Paris.

La police a pu identifier l’accusé, bien qu’il n’ait pas d’adresse connue, mais les investigations ont conduit à son arrestation dans un hôtel parisien, où il séjournait.

Après son arrestation, il a été placé en garde à vue, où il a été interrogé et accusé de tentative de meurtre, pour avoir poignardé sa collègue à plusieurs reprises dans l’abdomen.

Quant à la victime, elle a été transportée à l’hôpital, où elle a été opérée. Son état est stable.

Taqadomy.net

©️ Crédit source : https://cridem.org/C_Info.php?article=757267

✔️Biram Dah Abeid : « Je pense que la volonté de changement de Ghazouani est plus forte que celle de ceux qui travaillent à ramener le pays en arrière »

Le député et président de l’Initiative pour la Résurgence d’un Mouvement Abolitionniste en Mauritanie (IRA), Biram Dah Abeid, a organisé, ce lundi 13 juin 2022, au siège central de l’ONG anti-esclavagiste, une conférence de presse dans laquelle il a abordé trois points essentiels, considérés par lui comme les véritables « problèmes » de la Mauritanie : une démocratie « prise en otage » depuis son soi-disant avènement, suite au fameux Discours de la Baule de François Mitterrand (20 juin 1990), une corruption (gabegie) endémique et une unité nationale toujours « en danger de mort ».

Mélangeant critiques acerbes d’un système qui refuse de mourir et éloges d’un président qui a eu le mérite de s’ouvrir à l’opposition, en mettant fin à une pratique dévoyée de la démocratie (avec moi ou contre moi) fortement exacerbée par Aziz durant la décennie 2009-2019, Biram Dah Abeid, rappelle ses positions de principes à ceux qui croient, à tort ou à raison, qu’il a dévié du chemin qu’il s’était tracé en se lançant d’abord dans le combat des droits de l’homme puis dans la mare de la politique. « Je n’ai jamais affirmé que tout est bien dans le meilleur des mondes possibles, sous Ghazouani, mais j’ai dit, et je le répète, qu’il a le mérite d’avoir levé l’embargo qui pesait sur les libertés publiques », a dit en essence le président d’IRA. Oui, au niveau des libertés, il n’y a pas de comparaison possible entre la décennie d’Aziz et ces trois premières années du pouvoir de Ghazouani, même s’il y a, quelque part, des formes de « résistance », à ce changement notoire de la part de clans politiques voulant maintenir le statu quo ante et d’une administration aux réflexes grégaires, poursuit l’ancien candidat à la présidentielle arrivé deux fois second, en 2014 et en 2019, ce qui lui donne la force morale de s’afficher comme le vrai leader de l’opposition.

En ce qui concerne la corruption, BDA n’y va pas avec le dos de la cuiller. « La gabegie est en train de faire école et pousse à choisir les voies détournées pour arriver sans effort, à ce que d’autres ont obtenu. Aussi, les jeunes, choqués par ce qu’ils voient comme rabaissement du savoir et « considération » accordée à ceux qui réussissent par le vol, la corruption et la triche, cèdent au découragement. Les Mauritaniens gagneraient à comprendre que la corruption (gabegie) est le Mal et que rien ne peut marcher tant que l’Etat n’a pas réussi à en limiter considérablement les effets, à défaut d’y mettre un terme. Déplaçant le curseur de l’appréciation de la question des libertés vers celui de la gabegie, Biram Dah Abeid dira qu’en voyant ce qui se passe actuellement, on a l’impression que rien n’a vraiment changé, « parce que le système (celui qui soutenait Aziz et réclamait pour lui un troisième mandat) est encore là, faisant la pluie et le beau temps pendant ces trois premières années de quinquennat de Ghazouani mais risquant, également, de jeter sur lui le même opprobre que celui qui poursuit aujourd’hui son prédécesseur, glorifié durant une décennie mais voué aux gémonies aussitôt « dégagé » du pouvoir ! Il s’agit là d’une « corruption morale » qui fait autant de dégâts que la corruption ayant mis à terre l’économie du pays, dira le président de l’ONG IRA.

Abordant le troisième point, celui de l’Unité nationale et de la cohésion sociale, BDA, dira qu’il n’est pas contre la criminalisation du discours de haine mais dénonce de vive voix la « politique des deux poids, deux mesures. »

« L’application de cette loi ne doit pas revêtir un caractère ségrégationniste, comme on le voit actuellement dans le traitement que le ministère des Affaires islamiques réserve aux imams et muezzins Hratin qui ne sont pas logés à la même enseigne que leurs collègues maures », dira Biram Dah Abeid

En ce qui concerne le dialogue (ou concertation), le président d’IRA réfute les accusations faisant porter à l’opposition la responsabilité de son échec. « Ce sont ceux qui ont investit dans la crise, qui vivent de la tension entre le pouvoir et l’opposition qui ont un intérêt certain à ramener Ghazouani à la case départ », laisse-t-il entendre. Ainsi la crise est une situation qui fait vivre ses hommes au sein de la majorité qui la considère comme une « marchandise ».

Répondant à une question relative à la reconnaissance du parti RAG, BDA révèle une récente rencontre entre le ministre de l’Intérieur, Mohamed Lemine Ould Mohamed Ahmed, et le président de cette formation en quête de récépissé, l’ancien ministre Oumar Ould Yali, et estime que l’espoir est permis. Il s’agit, en dehors de la reconnaissance de notre formation, de mettre de l’ordre dans une véritable pagaille politique suscitée par Aziz quand il a ouvert la porte à des partis qui n’existent que de nom et servaient à des manipulations de toutes sortes, comme, par exemple, servir de tremplin à des candidats du pouvoir n’ayant pas pu se présenter à partir de l’UPR.

Se prononçant sur le « dossier de la décennie », BDA dira que l’inculpation d’autrui ne le réjouit aucunement. « Que tous soient libérés, s’ils sont innocents ; je ne suis l’ennemi de personne mais seulement le concurrent honnête de ceux qui ont des programmes politiques susceptibles de les porter au pouvoir », conclut le président d’IRA.

©️ crédit source : http://courrierdunord.com/node/5155

✔️Conférence internationale à Alger sur la diplomatie du sport | La contribution de notre compatriote, l’expert médias Lassana Camara (Le Quotidien de Nouakchott)


Jeudi 9 juin 2022, s’est tenue à Alger la Conférence Internationale sur la Diplomatie du Sport organisée par le Forum Algérien pour la Citoyenneté et la Modernité (FACM). De nombreux experts Algériens et étrangers dont notre compatriote Lassana Camara y ont pris part.

Après le mot de bienvenue du Président du Forum Algérien pour la Citoyenneté et la Modernité, Amine SBIA, il y a eu les allocutions des représentants du Ministère des Affaires étrangères et celui de la jeunesse et des Sports d’Algérie. Après ce fut, les interventions du Président du Comité Olympique Algérien Abderrahmane Hammad et de Mustapha Larfaoui, ex président de la Fédération Internationale de Natation (FINA), membre Honoraire du Comité Olympique International (CIO), avant le début des travaux du forum.

Des communications ont été ensuite, développées par les différents intervenants (Abderrahmane Belmoctar- ex directeur général MAE, ancien Ambassadeur, Dr Slimane Aradj- Recteur de la Faculté des Sciences Politiques, à l’Université d’Alger 3, Saïda Brahim- Secrétaire Générale du FACM- ex Parlementaire, Walid Bouchenafa – Consultant International du Sport et Lassana Camara- Expert Média CAF.

Il y avait à la modération : Chérif Oudjani, Dr Nasredine Guemriche et Oussama Iferah respectivement ancien footballeur Algérien et Conseiller International en Sport, Coordinateur de la Commission Ministérielle du Suivi et Evaluation de l’Elite Sportive, Laboratoire de la Politique et de la Commission Sociale.

La diplomatie sportive est devenue un élément stratégique au service du rayonnement de l’Algérie. C’est ce qu’ont affirmé les nombreux experts ainsi que des responsables Algériens ayant occupé des postes au sein des instances sportives internationales, présents à ce forum.

Le Mauritanien Lassana Camara, expert Media à la Confédération Africaine de Football (CAF), a mis en exergue l’importance de la coordination entre les ministères de la Jeunesse et des Sports et celui des affaires étrangères dans la promotion du sport.

Selon lui, l’Algérie a toujours été une passerelle pour les joueurs africains qui veulent faire une carrière professionnelle en Europe. ‘’L’Algérie n’a pas besoin de publicité comme beaucoup de pays africains pour faire la promotion du sport, mais il faut juste l’exploiter à travers la mise en place d’une diplomatie effective’’, a fait savoir l’expert Média Mauritanien.

Cette conférence internationale sur « la diplomatie sportive, soft power au service du rayonnement de l’Algérie », aura été l’occasion pour établir une série de recommandations visant à mettre en place une stratégie pour faire valoir les atouts de l’Algérie en matière de diplomatie sportive.

Hachim

Le Quotidien de Nouakchott
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Encadré

Communication de notre compatriote : Jeudi 09 juin 2022 – ALGER

De nos jours, il est largement répandu que le sport est un puissant vecteur de lien entre les Hommes, les Institutions et même les États. Un outil de développement sur lequel peuvent s’appuyer des politiques, à conditions qu’il existe une cohérence entre les valeurs véhiculées.

par le sport et les organisations qui s’en réclament. Nombreux sont les exemples d’événements sportifs qui ont permis à des États de rayonner sur une période ou une zone donnée, le temps d’une compétition ou de projets sur le long terme. La Coupe d’Afrique des nations de football en est la parfaite illustration à l’échelle de notre continent africain.

Par exemple : La Mauritanie qui n’existait pas sur la scène sportive internationale, grâce à la vision sportive et diplomatique de son Président Ahmed Yahya a propulsé le pays vers sommets avec des arguments solides à la hauteur de ses ambitions, une révolution du foot mauritanien, au pas de course. Pourtant il s’était retrouvé devant le désert aride, une équipe à la dernière place du classement mondial, exclu des compétitions internationales, pas d’entraineurs salariés, pas d’administration réelle. Parti de zéro, Ahmed Yahya entreprend un véritable travail de titan, redore le blason et Nouakchott devint une destination pour parler football (Sommets de la FIFA, Cérémonie FFRIM Awards, les présidents de la FIFA et de la CAF ont visité le pays, plusieurs fois…).

Le Rwanda avec ses contrats de Marchandising avec le PSG. Un autre grand pays qui a mis une place, une politique de diplomatie industrielle autour du sport en signant des partenariats avec plus d’une vingtaine de Fédérations, ce pays est devenu une base arrière des nations qui n’ont pas de stades aux normes internationales. Une référence absolue en matière de synchronisation de diplomatie sportive, économique et diplomatique avec des résultats gigantesques.

A tel point que parvenir à rayonner en s’associant aux valeurs positives telles que le fair-play et le respect de l’autre, le dépassement de soi ou encore la solidarité est devenue un enjeu crucial pour créer un lien avec l’opinion publique mondiale. Et pour cause, le sport crée des conditions propices à la conduite des relations internationales. Il peut être d’un grand appui pour acter des réformes, susciter des innovations ou encore introduire de nouvelles approches dans les diplomatiques …

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