● Association pour la Solidarité, l’Éveil et le Progrès de Toulel (ASEPT) | Droit de réponse à M. Ghali Soufi : de la clarification sur le Fort de Oualata à la diversion sur « la dite crise identitaire des soninkés ».

Après avoir publié deux articles de clarification pour se dédouaner de son implication dans les événements du Fort de Oualata, M. Ghali Soufi adopte une stratégie de diversion qui interroge. Ce procédé a pour effet de détourner l’opinion sur les enjeux réels, se prêtant ainsi à une forme de gymnastique intellectuelle plus que fourbe. Il serait utile que M. Soufi édifie l’opinion davantage sur son rôle dans cette période sombre des années de braise.
Toutefois, il serait opportun d’examiner son approche puisqu’il veut recentrer le débat sur « la crise identitaire soninké », mettant ainsi l’accent sur une supposée fracture entre les valeurs ancestrales et les aspirations contemporaines, sans jamais préciser les faits qui motivent cette analyse simpliste, ni le contexte des revendications concrètes portées par ceux qu’il qualifie d’une part de « rebelles » et d’autre, « d’agneaux dociles ». La question qui se pose, c’est de savoir, si M. Ghali Soufi vise uniquement à déplacer le débat ou S’il est tout simplement ‘’esclavagiste’’ ? Par ce qu’on s’interroge sur la portée de cette sortie publique notamment lorsqu’il aborde la crise dans la communauté soninké sous l’angle identitaire et relate par la suite un différend entre « nobles et anciens esclaves ». Par cet article : https://www.facebook.com/ghali.soufi.7, cherchez- vous véritablement à manipuler l’opinion sur la réalité de ce cancer de la féodalité ou encore à masquer les causes profondes de cette dissension ? Ces interrogations invitent à dépasser les postures loufoques et à privilégier la rigueur intellectuelle dans l’analyse des faits sur ces mutations sociales à l’œuvre dans notre communauté. Il serait donc intéressant que M. Soufi explicite davantage sa position et sa connaissance du contexte toulelois dans cette crise de la communauté soninké.
Dès 2010 voire même bien avant, les membres d’ASEPT (Association pour la Solidarité, l’éveil, le progrès de Toulel) se sont illustrés par leur engagement abolitionniste dans notre organisation villageoise de la diaspora. Donc ce travail a été amorcé bien avant l’épisode de la « Khotba » datant 2018.
Dans la même logique, le mouvement GANBANAAXU (Égalité) est quant à lui, apparu en 2016 donc 2 ans avant cette ‘‘khotba’’, qui a galvanisé la communauté. C’est un concept porteur d’une philosophie sociale et humaniste qui s’articule autour de l’Egalite et la Dignité en droits et devoirs. En effet c’est une plate-forme transnationale, regroupant plusieurs villages. A travers ses campagnes de sensibilisation, GANBANAAXU secoue amèrement les consciences et les certitudes des adeptes du schéma sociétal classique : l’ordre féodal. Pour enfin libérer la voie à une citoyenneté plus juste et inclusive et non se contenter à de simples rôles subalternes dans la société.
Pour autant, cela n’a rien à voir avec les événements de Toulel ni le sermon en question. Il est nécessaire de rappeler les qualificatifs que vous avez utilisés, sont loin d’être anodins. Puisque vous faites usage de la même sémantique que ce prêche évoqué. Pour votre grade, la stigmatisation systématique et les préjugés n’ont jamais fait office de vérité. Tantôt « rebelles, tantôt, anciens esclaves, tantôt d’agneaux dociles ». Sachez que par une telle posture, vous contribuez à raviver des tensions latentes, évoquant l’odieuse « khotba » du 26 janvier 2018 comme référence, cela ne fait que nourrir les amalgames. Vouloir restaurer la dignité comme une valeur fondamentale dans la société, ne signifie pas un rejet de l’identité en soi, ou de la tradition. Cela s’inscrit plutôt dans une logique d’épuration de certaines traditions obsolètes et anachroniques, à savoir les déterminismes sociaux. Cette lecture est tellement simpliste qu’il banalise la teneur et le ton virulent des propos de ce prêcheur que M. Ghali Soufi relaie, sont perçus comme stigmatisant par toute une famille de ce village. Il aurait été plus judicieux de vous renseigner sur le contexte pour comprendre les véritables raisons de ce sermon incendiaire. Cette crise dans la société soninké est donc le reflet d’une société sclérosée qui refuse/réfute toute velléité de réforme.  Dès lors, vous comprenez que ce n’est pas qu’une crise d’identité, mais une volonté assumée d’abolir ces pratiques héritées du système de castes et de réparer des injustices sociales profondes.
L’esclavage par ascendance, ce système hiérarchique qui gangrène le milieu soninké, démasqué par l’élan abolitionniste arrimé aux textes fondamentaux de nos Etats. C’est qui dérange et réveille l’égo toxique dudit imam s’il en est un, avec tous ses semblables. C’est-ce qui a suscité cet élan de solidarité de l’ordre féodal au village. Se mettant en rangs serrés derrière l’imam au point de refuser cette réunion demandée. Tous les moyens étaient bons pour que l’appel pacifique à des réformes plus justes et équitables dans la communauté, nous vaut l’opprobre, qu’on soit ainsi sali, vilipendé, diffamé dans une khotba. Dont ce prédicateur apologiste profite depuis sa chaire, convoquant des références coraniques et hadiths prophétiques interprétant  à sa ‘‘sauce’’ pour « indexer la toxicité de la vantardise par ascendance et le mépris héréditaire appelé « Laada » (coutume). Ce Laada soninké qui fait office de constitution sociale intracommunautaire, défiant à la fois la Loi du pays et la profonde philosophie humaniste prônée par La Religion. Les préjugés sociaux dont il a fait référence, sont également ces coutumes suprématistes et discriminantes, véhiculées socialement par le LAADALENMAXU (tradition) soninké. Un mécanisme Complexe, d’apparence inoffensif alors qu’il constitue le nœud de tous les symboles discursifs et comportementaux de l’esclavage par ascendance et du système des castes. Donc c’est plutôt une divergence de principe et non un affrontement entre tradition et modernité.
Les traditions constituent certes un héritage immatériel précieux pour la cohésion d’un groupe, mais elles sont aussi appelées à évoluer pour toute société qui se veut viable. Certaines pratiques disparaissent, d’autres se transforment ou sont réformées pour s’adapter aux réalités. La tradition et la modernité ne sont pas des concepts antagonistes, mais des réalités qui coexistent et s’entremêlent à travers nos actes de la vie quotidienne.
Votre pamphlet aurait dû s’inscrire dans la logique de promotion de valeurs républicaines, dans un élan progressiste et salutaire comme l’avait martelé le Président de la République lors de son discours de OUADANE : https://ecrit-ose.blog/2021/12/12/%E2%9C%93le-president-de-la-republique-letat-continuera-a-preserver-lunite-nationale-la-dignite-la-liberte-et-legalite-de-tous-les-citoyens-quel-quen-soit-le-pri/
Au lieu de s’arrêter à des considérations superficielles, aux discours de façade, aux simplifications commodes, il serait pertinent de reconnaître la complexité de la situation et engager une réflexion profonde sur nos réalités sociales. Contrairement à votre posture, qui ne peut se résumer à des concepts abstraits. Pour que chaque voix compte dans la société, même discordante, on se doit de bâtir une société juste avec des solutions concrètes et partagées.
Nous pensons que promouvoir l’égalité et la dignité entre tous les membres de la communauté doit être l’engagement premier de tout citoyen honnête et responsable. Comme l’a rappelé le Président de la République lors de sa visite N’Beikit Lahouach dans le département de Dhar « l’appartenance nationale doit primer et précéder sur toutes les autres appartenances ».
Au-delà des débats internes à la communauté soninké, le passif humanitaire mauritanien demeure aussi un enjeu majeur pour nous. Un drame national ayant frappé toutes les composantes du pays, y compris Toulel, endeuillé par la perte de deux de ses fils. En mêlant cet héritage douloureux à ses analyses ambiguës et maladroites, M. Ghali Soufi ne fait qu’ajouter de la confusion là où la clarté, la mémoire et la vérité s’imposent.
Pour conclure, les enjeux soulevés par le poids des traditions et les dynamiques de réforme sociale qui s’imposent, tout comme le passif humanitaire, invitent à une réflexion partagée et à un dialogue ouvert, responsable et sincère plutôt que de s’enfermer dans des polémiques stériles. La fuite en avant et les diversions ne peuvent régler une crise aussi profonde. Il s’agit de reconnaître la complexité des situations, de valoriser les initiatives positives et d’œuvrer ensemble à la construction d’une société plus juste et apaisée. C’est dans cet esprit que chaque acteur, y compris M. Ghali Soufi, peut contribuer à la réparation des injustices dans le respect de la mémoire collective, du triomphe de la vérité.

Le 11/12/2025

Pôle communication ASEPT Mauritanie – France

● Dr. Issa Coulibaly, président du Conseil Régional du Guidimakha : «Je m’investis contre la manipulation et pour la défense de la vérité républicaine» [Le Calame]



Le Calame — Le budget régional vient d’être rejeté. À qui incombe la responsabilité ?

Dr. Issa Coulibaly: Aucune faute budgétaire n’est en cause. Le rejet n’a strictement rien à voir avec le contenu du budget. Il résulte d’une manœuvre de pression menée par quelques élus déterminés à obtenir le rétablissement d’indemnités suspendues conformément à la loi.

Le budget 2026 a été construit dans la transparence la plus totale : cinq commissions ont été saisies dès octobre 2025 ; trois ont travaillé, deux n’ont produit aucun rapport — pas une note, pas une recommandation — notamment les commissions dirigées par Mme Gangué et M. Abderrahmane. Ces mêmes élus prétendent pourtant “défendre la Région”.

En séance, aucun élément technique n’a été soulevé. Aucun amendement n’a été proposé. Le débat n’a porté que sur leurs indemnités. Les faits sont têtus.

– Une crise institutionnelle serait en cours au Guidimakha. Que se passe-t-il réellement ?

Il n’existe aucune crise institutionnelle. Ce qui circule sur les réseaux sociaux relève d’une construction délibérée, organisée par un groupuscule d’élus pour travestir la réalité. La Région fonctionne, les services travaillent, les projets avancent.

Ce que certains présentent comme une crise n’est en réalité qu’une tentative de manipulation initiée par deux vice-présidents — M. Cheikh Mohamedou Abderrahmane et Mme Diouma Amadou Gangué — qui, depuis leur installation, n’ont jamais exercé de manière effective les fonctions que la loi leur confie.

M. Cheikh n’a jamais travaillé un seul jour dans la Région, tout en percevant 18 mois d’indemnités.

Mme Gangué, après quelques mois de présence, s’est installée entre Nouakchott et la France, rendant toute participation régulière impossible.

Lorsque j’ai rappelé l’application stricte de l’arrêté 156/2019 — qui conditionne les indemnités à l’exercice effectif — leur agitation a commencé. Non par désaccord politique, mais par défense d’intérêts personnels.

La suite est connue : fabrication de récits mensongers, diffusion de vidéos approximatives, instrumentalisation de la diaspora et mobilisation d’influenceurs extérieurs. Tout cela pour masquer un simple fait : ils refusent l’application de la loi.

-Vous parlez de responsabilités individuelles. Lesquelles ?

-Depuis juin 2023, les deux vice-présidents cités — M. Abderrahmane (AND) et Mme Gangué (UDP) — n’ont jamais assuré une présence conforme à leurs obligations. Pendant plus d’un an, j’ai privilégié le dialogue : réunions, médiations avec le Secrétaire général, compromis sur une présence minimale de dix jours par mois. Engagements verbaux jamais respectés.

Face à cette persistance, j’ai pris une décision républicaine : appliquer la loi et suspendre les indemnités. Leur fronde a commencé immédiatement.

– N’auraient-ils pas bénéficié de l’appui de certains acteurs politiques locaux ?

-Non. Ils ont rallié quelques alliés en quête d’indemnités, souvent absents du territoire — certains résidant même en France — et revendiquant des indemnités de session alors qu’ils votent par procuration.

Des alliés complaisants : Néfé Gandega (INSAF), Sidaty Ba (UDP) – installé en France – et Moussa Soumaré (SAWAB). Leur point commun ? Défendre l’idée qu’un conseiller absent, qui vote par procuration depuis la France, devrait toucher les indemnités de session de 6 000 MRU. Une théorie absurde, contraire à la loi. Aujourd’hui encore, les trois cités sont en France. Ils ont voté par procuration et exigent leur indemnité.

Le droit est clair : une indemnité de session compense la présence physique, pas l’absence. Aucune disposition ne permet de payer quelqu’un qui n’est pas sur place. Aucune.

-Quels étaient les axes majeurs du budget ?

-Un budget clair, équilibré, rigoureux. Les priorités étaient les suivantes :

-Sécurisation du parc d’équipements (17 tracteurs, camions, chargeur, accessoires) par la construction d’un hangar et d’un bloc administratif. Un patrimoine à forte valeur, indispensable à l’économie locale.

-Réhabilitation urgente du siège du Conseil, aujourd’hui dégradé, pour garantir sécurité, dignité administrative et accueil du public.

-Création d’un site institutionnel afin de renforcer la transparence, la communication publique et l’attractivité du territoire.

-Hydraulique villageoise : forages, réseaux, châteaux d’eau, énergie solaire — répondant à des demandes directes des populations.

-Périmètres agricoles pour les jeunes, équipés et modernes, pour réduire l’exode et renforcer l’autonomie alimentaire.

-Appui économique aux femmes productrices, essentiel pour la stabilité sociale et la résilience économique.

-Acquisition d’une pelleteuse-chargeur, pour renforcer nos capacités d’intervention sur les ouvrages hydrauliques et les terres dégradées.

Le trésorier régional a validé toutes les procédures. Aucune irrégularité.

Ce budget a été rejeté uniquement pour des raisons politiques et personnelles, jamais pour des raisons techniques.

-Que s’est-il passé concrètement le jour du vote ?

Ce fut un moment révélateur. Les frondeurs ne sont pas venus débattre : ils n’avaient qu’un objectif : faire pression pour recouvrer leurs indemnités.

Pas une critique technique, pas une demande d’amendement, pas une ligne discutée. Ils ont simplement constitué une coalition conjoncturelle, sans cohérence politique, dont le seul dénominateur commun était le chantage institutionnel.

Et après le vote, aucun n’a pu citer une ligne du budget qui poserait problème. Preuve supplémentaire que le budget n’était qu’un prétexte.

-Certains conseillers affirment pouvoir contrôler directement votre gestion. Que dit la loi à ce sujet?

La loi organique 2018-010 est explicite :

Le Conseil délibère ;

Le Président exécute.

La gestion n’est pas collégiale. Elle est légale, ordonnancée, encadrée.

Le contrôle de la gestion publique relève exclusivement :

_de la Trésorerie régionale,

_de l’Inspection Générale de l’État,

_de la Cour des Comptes,

_de l’Administration de tutelle.

Aucun conseiller n’a mandat pour intervenir dans l’exécution : recrutements, marchés, engagements financiers. Certains veulent transformer cette architecture en leur faveur. Je le dis clairement : c’est contraire au droit et contraire à l’esprit républicain.

-Que représente le programme d’urgence gouvernemental pour votre région?

-Une avancée historique : 20,3 milliards d’anciennes ouguiyas investis en 30 mois pour écoles, santé, hydraulique, routes, électricité, jeunesse, agriculture et pastoralisme.

Jamais le Guidimakha n’avait bénéficié d’un tel niveau d’investissement. Pendant que l’État travaille, certains cherchent à bloquer. Le contraste est clair.

-Et la coopération avec le Mali et le Sénégal dont votre région est limitrophe?

Elle est dynamique, structurante et essentielle. Le Guidimakha est un carrefour vital. Mais cette coopération ne peut fonctionner que si la Région est forte, stable, respectée. Chaque tentative interne de déstabilisation affaiblit non seulement la Région, mais aussi la position de la Mauritanie.

Qui aurait intérêt à contrarier?

-Des acteurs identifiés, installés dans les hautes sphères, utilisent leur influence pour saboter l’action régionale. Ce n’est pas de l’opposition : c’est une entreprise de déstabilisation.…pourquoi ? Parce que la Région avance. Parce que les projets sortent de terre. Parce que la population voit la différence. Leur stratégie est simple : générer du vacarme pour masquer le progrès.

Mais la population n’est pas dupée. L’histoire retiendra ceux qui construisent, non ceux qui entravent.

-Un mot de la fin?

-Le Guidimakha n’est pas en crise : il est victime d’une agitation fabriquée par ceux qui refusent l’application de la loi.

Je demeurerai fidèle à ma mission, fidèle à la République, fidèle au mandat confié par nos populations. Je ne céderai ni aux pressions, ni aux manipulations. Tant que j’exercerai cette responsabilité, aucune manœuvre ne détournera notre Région de sa trajectoire : la vérité, la loi, le développement et l’ordre républicain.

Propos recueillis par Dalay Lam

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● Afrique – Politique | Le personnage Kémi Seba en un petit mot. Par KS.

©️ Photo via les RS

–KS comme Kémi Seba | il est en train d’habiter son véritable personnage en mutant d’éveilleur de conscience collective auprès du monde afro diasporique à agitateur et politicien très instable dans ses démarches et vues. Planqué chez le général Tiani, le mythomane putschiste qui tient le Niger aux fers AES-siens (pouvoir militaire à rallonge et fermeture du champ politique et civique), Kémi Seba rameute et exploite en fin manipulateur des bonnes causes pour ses agendas nébuleux axés sur un ego surdimensionné à assouvir. Par son aura et ses prétentions, actuellement s’il était prisonnier politique au Bénin, on l’aurait pris au sérieux et ses bluffs compulsifs seraient mieux lisibles à juste titre. Il fait partie de la team Nyamsi, Yamb et leur suite… imaginons confier la gouvernance d’un pays à ce trio, ils ne vont pas tarder à se saigner horriblement dès les premiers 50 jours… parce que les rengaines compulsives tellement simplistes via les réseaux digitaux ne résistent pas aux réalités vivaces du jour au jour des hommes.

Actuellement, il serait doté d’un passeport diplomatique nigérien, le nombre de ressortissants de ce pays du même âge et N fois plus futés intellectuellement que lui, subissent un réel social et économique bouché et ne verraient jamais à quoi ressemble ce type de passeport officiel. Au Niger, il y est un élément parmi une élite politique et économique pro militariste et sûrement affairiste qui s’est faite de la thématique siamoise « souveraineté – panafricanisme » et ses biais raccourcis comme le nouvel opium d’un peuple qui se cherche. Et un peuple subissant désespoir multidimensionnel se trouve aisément…un messie arriviste loquace pour tenir face à une atmosphère de béance matérielle pour ne pas dire existentielle.

-KS pour le BLOG