✓Que l’opinion publique et les autorités étatiques 🇲🇷 en soient témoins avertis plus que jamais.
Ces dernières heures, certains planqués soninkés défenseurs extrémistes de l’esclavage par ascendance dans la communauté, incitent à attenter à la vie du président d’IRA Mauritanie, le député Biram Dah Abeid. Les audios et leurs auteurs sont clairement identifiés vivant en France et originaires du Guidimagha. Désarçonnés sociaux et désœuvrés menteurs qu’ils sont, ces lâches se lâchent depuis de nombreuses années contre les militants abolitonnistes qui refusent les coutumes esclavagistes et féodales dans la communauté soninké. Et par extension, ils vouent une haine maladive à l’encontre de la personne du leader abolitionniste BDA.
Face à ces perturbés complexés et leurs soutiens manipulateurs en coulisses dépassés par la marche consciencieuse de l’Histoire, les autorités sécuritaires et judiciaires en Mauritanie doivent prendre des mesures sérieuses.
Ces derniers jours une note administrative de communication écrite en arabe et en français a été publiée sur différents supports RS. Émanant des services de la wilaya Guidimagha, elle informe le public de la mise en place d’un service téléphonique dédié aux requêtes et sollicitations de citoyens. Selon la note, l’objectif vise une approche de proximité entre l’administration publique et le public comme souhaité nécessairement par le président de la république Mohamedould Cheikh El-Ghazouani. Ainsi 4 numéros sont à la disponibilité de citoyens. Un citoyen au Guidimagha a été contacté par notre BLOG, et il nous confirme avoir essayé un numéro pour vérifier et effectivement au bout du fil il a eu un interlocuteur direct.
Un service inédit en la matière qu’il faut amplement saluer et qu’il soit pérenne pour soulager les citoyens souvent largués pour accéder à leurs droits auprès divers départements administratifs. En espérant que cet outil pourrait enrayer le troublant système d’intermédiaires qui sévit et vit par un véritable racket sur le dos de pauvres demandeurs de leurs droits légitimes auprès de l’administration publique.
Les numéros téléphoniques à la disposition des citoyens auprès de l’administration Guidimagha.
L’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, a été condamné mercredi par contumace à la prison à perpétuité pour sa participation à l’assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’État en 1987. Le tribunal militaire de Ouagadougou a également condamné à la perpétuité le commandant de sa garde Hyacinthe Kafando et le général Gilbert Diendéré, un des chefs de l’armée lors du putsch de 1987. Blaise Compaoré, en exil depuis 2014 en Côte d’Ivoire, et Hyacinthe Kafando, en fuite depuis 2016, étaient absents de ce procès qui avait débuté il y a six mois.
La nouvelle ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, Mme Lalya Camara, n’est pas n’importe qui. Elle est la fille de l’ancien ministre et actuel député à l’Assemblée Nationale, Camara Aly Guéladio. Mais c’est une « petite fille » que le Président Ghazouani et son Premier ministre Ould Bilal ont coopté sans leur assentiment, aux yeux de la féodalité masochiste et gérontocratique du Guidimagha, encore arc-boutée sur le pouvoir des anciens.
La nomination de cette Soninké bien née, ne répondrait pas seulement au dosage tribalo et ethno régionaliste, comme il est courant dans la formation de tous les gouvernements mauritaniens, mais résulte d’une compétence avérée. Diplômée de l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales avec un master en Finance d’Entreprises en poche, Lalya Camara est aussi une experte dans le domaine de l’Audit, de l’investissement et de l’entreprenariat au niveau national, international et régional, notamment dans la région du Sahel. Elle a mené des études pour le compte de la Banque Mondiale et de l’Union européenne, et a travaillé au siège de l’ASECNA à Dakar comme chargée de mission et analyste financière. Elle a aussi une bonne expérience de la société civile en tant que présidente du Réseau Femmes Actives en Mauritanie (FAM).
Des échos provenant de son Darfor natal et de son Guidimagha ancestral parlent d’une nomination bien saluée par les populations locales qui y voient un mérite renouvelé à la gent feminine et un encouragement à sa participation aux postes clés de décision. Une nomination qui tend à résorber des survivances d’us et de coutumes rétrogrades et désuètes, en total déphasage avec l’évolution du monde et les exigences de développement.
Beaucoup d’observateurs voient dans la nomination de Lalya Camara et de toutes ces femmes qui font leur entrée dans le gouvernement, un acte symbolique de la part du président Ghazounani et de son Premier ministre, Mohamed Ould Bilal, qui tend à gommer les considérations de classe et de genre, ainsi qu’une certaine stratification figée par les siècles dans une région comme le Guidimagha. Les premières manifestation d’allégresse qui ont accompagné la nomination de LalyaCamara dans sa région natale, par plusieurs villages dans la diversité de leurs communautés, sonnent comme une marque de reconnaissance à cette décision. Les populations y voient enfin l’amorce d’un changement substantiel et un espoir réel pour les jeunes et les femmes de la région.
La nouvelle ministre de l’Emploi est décrite comme proche des populations, équidistante de toutes les communautés, par-delà les clivages ethniques et politiques, des dissensions desquelles se nourrissaient les caciques locaux.
Pour beaucoup de cadres et intellectuels du Guidimagha, une certaine gérontocratie politique au Guidimagha serait sans doute la seule frange à percevoir à travers cette nomination, une menace réelle à sa suprématie séculaire en proie à l’usure du temps.
Le porte-parole du gouvernement Maalainine Ould Eyeh a annoncé que le président Mohamed OuldEl-Ghazouani a désigné le ministre-secrétaire général de la présidence Yahya Ould El-Waghif pour superviser les travaux du comité préparatoire du dialogue national.
Ould Eyih a souligné que les partis politiques avaient demandé au président Ghazouani de nommer un responsable du comité préparatoire du dialogue national, ajoutant qu’il a choisi Ould Al Waghif pour accomplir cette tâche.
L’ancien président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, a été condamné mercredi par contumace à la prison à perpétuité pour sa participation à l’assassinat de son prédécesseur ThomasSankara, tué avec douze de ses compagnons lors d’un coup d’État en 1987. Le tribunal militaire de Ouagadougou a également condamné à la perpétuité le commandant de sa garde Hyacinthe Kafando et le général GilbertDiendéré, un des chefs de l’armée lors du putsch de 1987. BlaiseCompaoré, en exil depuis 2014 en Côte d’Ivoire, et Hyacinthe Kafando, en fuite depuis 2016, étaient absents de ce procès qui avait débuté il y a six mois.
Sahara Média – La ministre mauritanienne de l’emploi et de la formation professionnelle, LalyaCamara a invité lundi ses collaborateurs au niveau du ministère à travailler dans un esprit d’équipe afin de réussir un travail efficace.
La nouvelle ministre, entrée dans le gouvernement lors du dernier remaniement, visitait certaines directions relevant du secteur de l’emploi et la formation professionnelle.
Elle a ajouté qu’elle mesurait l’ampleur de la responsabilité qui est celle de son département avant d’inviter les cadres du ministère à travailler efficacement afin de parvenir aux résultats fixés par le gouvernement dans le cadre de l’emploi et la formation professionnelle.
La ministre a fixé le programme des prochaines semaines pour déterminer les priorités du département et établir une feuille de route pour cela.
En réunissant son deuxième gouvernement après sa nomination, le premier ministre Mohamed O. Bilal lui a fixé 5 objectifs : l’ouverture en direction des citoyens, la fermeté dans la consolidation des règles de transparence, la consolidation des valeurs du travail, en plus du développement des règles de celui-ci et le travail dans un esprit d’une équipe solidaire.
C’est un raccourci récurrent ou même une stratégie subtile de fuite en avant, qui ressort facilement venant de milieux défenseurs du statu quo sociétal dans nos communautés. Pour eux, une personne qui ose bruyamment exposer et s’exposer en dénonçant nos tares honteuses entretenues socialement et politiquement, est un faux militant haineux en quête de lumière en s’attaquant violemment disent-ils au régime sociétal harmonieux quasiment d’ordre divin. Certains d’une sensibilité déconcertante sur les problématiques liées à la structure sociale discriminatoire et ségrégationniste de nos sociétés négro-africaines, perdent subitement toute lucidité et lâchent les vannes caricaturales et stigmatisantes sur les militants abolitionnistes intra muros. Ils diraient ces égarés qui dérangent tant dans notre narratif de « victimes homogènes » d’un dit affreux racisme d’État, et qu’on chercherait d’autres mesures coercitives adéquates pour les contenir dans les rangs. Disons-le , il n’y a pas d’une figure plus diabolisée et honnie foncièrement pour les mobilisés défenseurs de l’immobilisme féodal qu’une personne engagée contre l’hégémonie sociale de l’ordre féodalo-esclavagiste. Le rejet surgit souvent de son giron d’extraction sociale au sein duquel l’incompréhension va saigner la poisse chez certains de siens maladivement acquis à l’ordre dominant. Ainsi elle va symboliser ce mouton noir fonçant à l’envers du troupeau dressé à accepter avec fatalité du faire-valoir social.
L’éveillé qui s’interroge et questionne beaucoup, est combattu, sali, moqué, indexé et traité de haineux. Lui est reproché son entêtement à vouloir contester les assignations qui les relèguent (lui et les siens) historiquement aux seconds rôles dans la communauté. Aujourd’hui un fourre-tout mis à l’actif d’un racisme dit d’État, est une fine chansonnette qui s’entend bien parmi les chapelles communautaro-nationalistes du camp négro-africain (hors haratines). Une mobilisation argumentative est bien rodée à dessein, le système étatique serait raciste et esclavagiste, une fois dit, la tâche complexe est de savoir Quoi ou Qui est ce contenu raciste et esclavagiste dans leur entendement. La rengaine binaire qui schématise Noirs victimes de tout et Blancs (arabo-berbères) responsables de tout, est une arnaque qui a trop longtemps berné le monde extérieur. Et un militant droit-de-lhommiste sincère intellectuellement ne peut se laisser embarqué dans un narratif pipé de contre-vérités sur les réalités.
Ces réalités qui sonnent comme suit dans nos communautés régies par l’ordre féodalo-esclavagiste :
Un véritable apartheid sociétal et coutumo-religieux où les gens sont physiquement ensemble avec beaucoup d’hypocrisie mais séparés hermétiquement par des murs invisibles qui assignent et hiérarchisent en pur et en impur de naissance.
Indexer, affronter et interroger ouvertement les méfaits évidents de ces réalités, nécessite un grand courage. Ainsi un.e militant.e anti-féodalité est très courageux mais pas haineux. Il n’en a pas besoin, et ceux qui l’en accusent, font sciemment de la diversion honteuse. On ne supporte pas son engagement pertinemment argumenté qui dévoile nos angles morts faits d’un tissu de tabous. Ces tabous sociaux qui font l’assise des violences silencieuses perpétrées impitoyablement à l’encontre de certains membres assignés « mal nés » dans nos communautés. Une situation trans-communautaire qui a été dénoncée ouvertement ces derniers mois par le président de la république en personne et également par le président de l’Assemblée nationale en des termes inédits. Un militant anti-esclavagiste issu de toute communauté qui ce soit ne dirait pas plus pas moins que les propos de nos 2 hautes personnalités de l’État. Bizarrement lui, il serait haineux. Lui et les siens qui ont compris et vivent tout près de cette juxtaposition sociale foncièrement hypocrite qui s’assume difficilement. Que je suis tenté de résumer machinalement aux propos caricaturaux d’un activiste influenceur suprémaciste d’origine maghrébine vivant en France, Bassem qui lance souvent à ses frères renois (Noirs) , en substance « avec vous, frère oui, mais jamais beau frère ». Un cas clasheur d’une sincérité notable qui dit tout haut ce qui se dit dans l’enclos de l’entre-soi.
En conclusion, le militant droit-de-lhommiste engagé contre les mentalités rétrogrades de la féodalité communautaire et de l’esclavage par ascendance, n’est pas un haineux, mais IL A COMPRIS TOUT SIMPLEMENT que le narratif militant balisé au parfum racial voire raciste est une pure duperie.
• Liens médias des discours du président de la république 🇲🇷 et du président de l’Assemblée nationale :
Le Premier ministre, M. Mohamed OuldBilal Messoud, a tenu, samedi à Nouakchott, une réunion avec les nouveaux ministres qui ont été nommés le 31 mars 2022.
Au début de la rencontre, le Premier ministre a félicité les ministres pour la confiance placée en eux par le Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, leur souhaitant plein succès dans les missions qui leur sont confiées , de manière à concrétiser les hautes orientations du Président de la République données au nouveau gouvernement pour œuvrer en vue de permettre à l’administration d’être un outil efficace de développement, de servir les populations et de matérialiser les valeurs de la justice et d’équité.
A cette occasion, le Premier ministre a instruit les ministres:
-de faire preuve d’ouverture sur les populations et d’être proches d’elles de manière à faciliter leur accès aux services publics et à leur permettre de bénéficier de leurs droits dans de bonnes conditions,
-de faire preuve de rigueur dans la concrétisation des règles de transparence, de justice et d’équité ainsi que des principes de la bonne gouvernance dans la gestion des ressources financières et des affaires publiques,
-à appliquer les valeurs de travail, de respect de dignité, de sérieux et de conjugaison des efforts pour accélérer le rythme d’exécution des programmes du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, des contenus de ses discours et des différents plans gouvernementaux tracés à cet effet,
– à développer les méthodes de travail en se basant les outils modernes de programmation, de suivi et d’évaluation et de manière à garantir l’efficacité et la réalisation des objectifs escomptés,
– à œuvrer avec l’esprit d’une même équipe solidaire pour surmonter tous les obstacles qui entravent les réformes structurelles et organisationnelles nécessaires pour l’amélioration du rendement de l’administration, de manière à garantir la prise en charge des besoins et des doléances des citoyens et à répondre à leurs aspirations sur tous les plans.
Pour atteindre ces objectifs, le Premier ministre a donné aux ministres toutes les données relatives à la méthodologie et aux normes du travail gouvernemental , les appelant à les respecter en permanence, s’agissant des références essentielles sur lesquelles repose le travail gouvernemental, conformément au programme électoral du Président de la République qui est contenu dans la politique générale du gouvernement et dans les stratégies et plans d’action sectoriel ainsi que dans les charges confiées aux ministres et la stratégie de développement accéléré et de bien être partagé.
Jeudi 31 Mars 2022 à Dafort, chef-lieu de la commune du même nom, s’est tenue une rencontre citoyenne entre plusieurs membres et militants du parti RAG. Le parti Radical Pour une Action Globale, l’aile politique de l’ONG abolitionniste mauritanien IRA du président BiramDah Abeid, s’inscrit dans une dynamique d’implantation dans différentes localités de l’intérieur du pays.
Lors de cet événement d’échanges fructueux avec la présence de cadres du parti venus de Ould yenge et Selibaby, et des représentants de différentes localités de la Commune, une instance dirigeante a été mise en place au niveau local.
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