● Racisme dans le milieu sportif | le cas du brésilien Vinicius en Espagne

Comme d’habitude, ça se sent scandalisés dans tous les sens avec un certain sentimentalisme aux relents hypocrites. L’expression d’un certain racisme n’est pas une poussée expresse d’une bêtise venant d’un pan isolé de l’environnement de la société à majorité blanche. Il s’insère « logiquement » et inévitablement dans un cheminement racialiste au cœur de sociétés blanches à l’endroit de l’élément Noir. Un supporter fan de football en Espagne, un suprémaciste américain soutien de D Trump et le touareg politisé du nord malien peuvent se retrouver sur une même donnée-source inspirant leurs idéologies socialisées d’un racisme évident anti Noir. Le livre de Charles W. Mills, Le Contrat Racial explicite et donne de pertinentes notions fouillées de compréhension sur le cadre paradigmatique de fond. Ce fond systémique qui assoie et motive toute l’affaire du racisme anti Noir. Ainsi des restes venant de bulles papales d’antan, des théories et idéologies concoctées par de penseurs sociologues et philosophes d’hier dans la sphère blanche (principalement occidentale), tiennent et persistent dans une certaine conscience collective de l’environnement « blanc ».

Parmi les solutions possibles contre ce racisme, il faut une reconnaissance claire et nette qu’il est motivé et généré par un système politique historiquement racialiste. Le monument du Christ rédempteur en veille (durant quelques minutes) à Sao polo au Brésil pour soutenir l’attaquant Noir du Real, n’est qu’un symbolisme puéril pour un bref remède de conscience pour les esprits distraits.

Il en faut beaucoup de SÉRIEUX pour changer la donne, pour l’instant l’environnement Afro à l’échelle mondiale fuit ici, subit là et se complaît là-bas !

✍️🏿 KS pour le BLOG

● Déclaration | Par le président Omar Yali (RAG)

A tous nos militants et sympathisants.

Voici que les résultats des élections municipales, régionales et législatives du 13 mai 2023 viennent d’être proclamés par la Commission Électorale Nationale « Indépendante ». Vous avez sans aucun doute vécu à travers toute l’étendue du territoire national ce scrutin du samedi 13 mai 2013 caractérisé chez nous par des pratiques jamais vues dans l’histoire du processus démocratique.
En effet particulièrement, pour vous militants et sympathisants du parti RAG, ce cadre juriste, malgré le dépôt auprès du Ministère de l’Interieur d’un dossier conforme aux dispositions en vigueur dans le pays n’est toujours pas reconnu; vous avez été de tous temps objets de provocations et d’intimidations à l’instar de celles d’Atar et Kiffa comme vous avez bravé avec courage et sacrifice le manque cruel de moyens financiers et matériels dans ce vaste pays souvent difficile d’accès et de population où le régionalisme, le tribalisme parmi d’autres maux sociaux battent encore le record.
Militants et sympathisants de RAG, vous avez également ressenti plus que toutes les forces politiques ayant pris part aux récentes élections les obstacles dressés devant les formations politiques par les pouvoirs publics en ce qui concerne l’état civil, l’enrôlement, l’obtention de la carte électorale, l’accès aux bureaux de vote,le renvoi de vos représentants dans ces bureaux de vote, le refus des présidents de bureaux de votes de délivrer des procès verbaux à vos rares représentants restés présents jusqu’au dépouillement ; la liste relative à la transgression des règles régissant le jeu de la transparence électorale est longue.
Militants et sympathisants, malgré tout ce qui procède et qui est de nature à constituer pour vous des handicapes presque infranchissables, vous êtes arrivés à enregistrer des résultats honorables , grâce à votre sacrifice, votre discipline et votre profonde foi en votre projet de société pour la Mauritanie.
C’est le lieu, militants et sympathisants, de vous remercier, de vous féliciter, de vous encourager et de vous inviter à redoubler toujours d’efforts en vue remporter les prochaines consultations présidentielles de 2024 Inchaallah.

Nouakchott le 21 Mai 2023
OMAR YALI, President du Parti RAG

● Mauritanie : Les félicitations d’une jeune et convaincue démocrate aux candidats vainqueurs des élections de mai 2023 | Via alwiam.info

Une jeune et convaincue démocrate mauritanienne a livré dans un message plein d’enseignements une véritable leçon de morale aux politiques mauritaniens épris de chamailleries et d’égocentrisme, les appelant à se hisser aux querelles intestines et à nourrir l’espoir d’organiser des élections meilleures à l’avenir.



Ci-après l’intégralité de son message :

« Chers concitoyens,

Je m’adresse à vous aujourd’hui avec un mélange de gratitude et de tristesse, car je tiens à vous informer que notre campagne électorale n’a pas abouti aux résultats escomptés.

Je souhaite vous exprimer ma sincère reconnaissance pour le soutien inébranlable que vous nous avez accordé tout au long de cette aventure politique.
Les élections sont un processus démocratique complexe et imprévisible, où les aspirations et les choix des électeurs façonnent le paysage politique. Bien que nous n’ayons pas remporté cette élection, je crois fermement en la force de notre démocratie et je respecte le verdict des urnes.

Ma conviction envers les idéaux qui nous ont guidés pendant cette campagne reste intacte. J’ai toujours défendue avec passion les valeurs de justice, d’égalité et de progrès pour tous nos concitoyens. Bien que cette défaite puisse être difficile à accepter, elle ne doit pas nous décourager de poursuivre notre engagement pour un avenir meilleur.
Je félicite chaleureusement les candidats qui ont remportés ces élections;
Je leurs souhaite tout le succès possible dans la tâche importante qui les attends. Je leurs rappelle également la responsabilité qui accompagne ces fonctions, celle de servir l’intérêt général et de travailler pour le bien-être de tous les citoyens.
Cependant je m’engage à continuer à œuvrer pour notre communauté, même en dehors du cadre politique formel. Je demeure déterminée à faire avancer les causes qui nous sont chères, à soutenir les projets qui favorisent le développement de notre société et à promouvoir l’inclusion de tous les membres de notre communauté.

Je continuerai à travailler pour le bien de notre communauté et de notre pays, même si cela se fera en dehors de la fonction élective, je reste convaincue que nous avons besoin de leaders dévoués et engagés pour faire avancer notre société, et je continuerai à soutenir ceux qui partagent ces valeurs.

Enfin, je tiens à remercier mes collègues de campagne, ma famille, mes ami(e)s nos bénévoles dévoués et tous ceux qui ont contribué à notre cause. Votre énergie, votre enthousiasme et votre dévouement ont été une source d’inspiration et de motivation pour nous tous.

Aujourd’hui, je regarde vers l’avenir avec optimisme, en sachant que nos idées continueront à trouver écho dans le cœur de nombreux citoyens. Je reste convaincue que le véritable progrès ne se mesure pas seulement par les résultats électoraux, mais par notre capacité à unir nos forces pour créer une société meilleure.

Merci encore pour votre soutien indéfectible. Ensemble, nous pouvons continuer à travailler pour un avenir meilleur, en construisant un pays qui reflète nos valeurs les plus profondes.

Bien à vous,

Neye Isshagh Dia »

©️ Via https://alwiam.info/fr/ar/13208

● Mali : L’esclavage par filiation doit être criminalisé, selon des experts de l’ONU 08 mai 2023.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE PROCÉDURES SPÉCIALES.


COMMUNIQUÉ DE PRESSE

GENÈVE (8 mai 2023) – L’esclavage par filiation et les violences qui en résultent, perpétrées par les soi-disant « nobles » ou « maîtres » contre les personnes nées en esclavage, persistent au Mali, ont déclaré aujourd’hui des experts de l’ONU, exhortant les autorités à adopter une législation pour criminaliser l’esclavage au Mali. pays sans délai.

« Rien ne peut justifier l’esclavage, que ce soit la culture, la tradition ou la religion », ont déclaré Tomoya Obokata, rapporteur spécial sur les formes contemporaines d’esclavage, y compris ses causes et ses conséquences et Alioune Tine, expert indépendant sur la situation des droits de l’homme au Mali « . « Continuer à soutenir l’esclavage au 21e siècle contredit les engagements répétés des autorités maliennes de respecter, protéger et réaliser les droits humains pour tous.

L’esclavage par filiation forçait le déplacement de centaines de personnes et de communautés entières, qui n’avaient aucun espoir de retourner dans leurs communautés d’origine par crainte d’être attaquées, ont déclaré les experts. Ils ont cité l’exemple de la région de Kayes au Mali, où de violents affrontements ont fait des blessés et forcé des personnes à fuir leurs foyers. Les experts ont déclaré que l’esclavage fondé sur l’ascendance était également répandu dans les régions du centre et du nord du pays, notamment Tombouctou, Gao et Kidal. Selon la Commission nationale malienne des droits de l’homme (CNDH), il n’existe aucune donnée sur le nombre de victimes de l’esclavage par filiation dans le pays. Cependant, certaines organisations estiment qu’au moins 800 000 personnes sont considérées comme nées en esclavage, dont environ 200 000 vivent sous le contrôle direct de leurs « maîtres ».

Les experts ont reconnu les efforts importants déployés par les autorités maliennes, en particulier le ministère de la Justice et les autorités judiciaires, pour mettre fin à l’impunité des cas d’esclavage par filiation. Ils se sont félicités de la condamnation de plusieurs individus pour de tels crimes lors d’une session extraordinaire de la cour d’assises de Kayes du 27 février au 17 mars 2023.

« Le gouvernement dans son ensemble doit agir et la criminalisation de l’esclavage doit être une priorité », ont déclaré les experts.

« Certaines violations des droits de l’homme et abus commis dans le cadre de l’esclavage fondé sur l’ascendance pourraient constituer des infractions au Code pénal malien, mais pas toutes », ont déclaré les experts. « Une loi spécifique criminalisant l’esclavage par filiation faciliterait la poursuite des auteurs et renforcerait la protection des victimes », ont-ils déclaré.
Dans une étude récente, la Commission nationale des droits de l’homme du Mali a détaillé les violations des droits de l’homme et les abus liés à l’esclavage par filiation, y compris les actes de violence, les agressions, la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, les humiliations publiques, les insultes, les intimidations, les enlèvements et les viols commis quotidiennement par des « maîtres » contre les « esclaves », refus d’accès aux services sociaux de base (y compris les installations d’eau telles que les pompes ou les puits, les écoles, les installations sportives et sanitaires) ; et le refus d’accès aux entreprises ou aux terres agricoles. Les individus ou les communautés qui résistent à l’esclavage sont souvent soumis à un isolement physique ou social et à des restrictions de mouvement par leurs « maîtres ».
« Les ‘maîtres’ esclaves doivent être tenus responsables de leurs actes, indemniser les victimes et restaurer leurs droits et leur dignité », ont déclaré les experts. Les chefs traditionnels et religieux doivent jouer dans l’éradication de l’esclavage par filiation dans le pays, compte tenu de leur influence, ont-ils déclaré.

La mise en œuvre des recommandations formulées lors du Dialogue Interactif sur le Mali en mars 2023, et l’Examen Périodique Universel du Mali en mai, offrent une opportunité pour le pays d’adopter immédiatement une législation spécifique criminalisant l’esclavage. « Le Mali est le seul pays de la région du Sahel à ne pas avoir une telle législation », ont-ils déclaré.

Les experts ont précédemment appelé le Mali à criminaliser et à éliminer l’esclavage par filiation et ont soulevé la question les 8 septembre 2020 , 19 juillet 2021 et 29 octobre 2021. FIN

* Les experts : M. Tomoya Obokata , Rapporteur spécial sur les formes contemporaines d’esclavage, y compris ses causes et ses conséquences ; M. Alioune Tine, Expert indépendant sur la situation des droits de l’homme au Mali .
Page pays des droits de l’homme de l’ONU – Mali.
Voir le lien: https://www.ohchr.org/en/press-releases/2023/05/mali-slavery-descent-must-be-criminalised-un-experts-say

● Néma et Kiffa : Biram en démonstration de force

Le Calame – La tribune centrale de Kiffa sise au quartier administratif a servi de cadre à un grand rendez-vous du pôle de l’alternance caractérisé par une véritable marée humaine. Elle a refusé du monde lors du meeting électoral du pôle de l’alternance, ce vendredi 5 mai. Des milliers de sympathisants ont pris d’assaut dès les premières heures de l’après -midi l’enceinte en dépit de la forte température.

Sous les acclamations du public, Biram a sévèrement critiqué la gestion du pouvoir en place, dénoncé ces dérives, exposé les multiples souffrances des populations avant de mettre un accent particulier sur l’ascension fulgurante de sa campagne.

« A Nema, nous avons éclaboussé le parti Insav. Je pense que le réveil va surprendre la vieille garde de la féodalité tribale qui a toujours érigé un mur entre le pouvoir et les déshérités. Cette vieille garde d’auxiliaires et de laudateurs, élus locaux, hommes d’affaires, cadres de l’administration, commis de l’Etat ou politiciens arrivistes recrutés au sein de familles dirigeantes de la communauté maure ».

Cette classe va constater à ses dépens l’émancipation actée des populations servies et des déshérités parmi les maures dans tout l’Est (Tidjikja, Aioun, Néma et Kiffa) où les sympathisants et militants ont assisté à des meetings qui ont fait trembler la terre au dessous des pieds de la classe politique tribalo-féodale dominante », selon lui.

De l’avis du chef de file du pôle de l’alternance, « ces mobilisations de Néma à Kiffa en passant par Aioun ont éclaboussé les velléités de leadership sur le terrain au sein des opinions et de l’Insav avec la mobilisation des fonds indus volés au peuple. Il y a huit ministres de la wilaya et le président de la République numéro deux du régime mauritanien depuis 2005 et titulaire de la charge présidentielle depuis 2019 avec toute l’influence qu’il a eu en nommant ses collaborateurs dans des postes névralgiques de la haute administration ».

Et Biram, sous les vivats du public d’enfoncer le clou: « Notre confrontation à Kiffa est destinée à exclure l’un des bords à l’image de l’échelle nationale. Nous sommes le parti présidentiel de l’alternance contre le régime militaire en place depuis 1978 qui est à l’origine de tous les maux du pays ».

Dans la dernière ligne droite de la campagne électorale, l’ancien candidat à la présidentielle de 2019 se réjouit.

« Nous avons pu démontrer que nous sommes capables de mobiliser beaucoup plus que le président Ghazouani dans son propre fief. Nous disposons d’une force mobilisatrice avec une forte implantation capable d’intégrer et de conquérir les cœurs des populations, de produire des discours et des actes qu’attendent les populations. Nous avons démontré que le parti au pouvoir ne peut pas nous égaler en termes de mobilisation mais peut nous devancer dans l’octroi discriminatoire de pièces d’identité et de manipulations de la liste électorale avec une CENI apprivoisée », a-il-déclaré.

Et d’ajouter: « dans les différentes étapes que nous avons sillonnées de Zouérate à Kiffa en passant par Atar, Akjoujt, Aioun, Rosso et Néma, tout le monde s’est rendu compte qui nous sommes et qui suis ceux qui vendent les chimères et les mensonges. Ceux qui disaient que Biram ‘gassi'( est fini) eux, ils existent sur quelle planète ? Où sont-ils sur la scène politique ?Ceux qui disaient tout en mal de nous. Et qui nous dénigraient à la solde de leurs maîtres? Nous sommes face à face. Nous les avons éclaboussés dans toutes les villes. Où sont les analystes de whatsapp ? C’est pourquoi j’ai dit qu’il y a les hommes de whatsapp et les hommes de terrain. »

BDA précise : « les gens ont détourné mes propos. Ils ont voulu dire que Biram avait dit qu’il va prendre les armes et tuer tous les militaires et prendre ainsi le pouvoir par les armes. Je ne l’ai jamais dit. Je continue de prôner une lutte politique pacifique et déterminée. Une lutte propre contre le pouvoir pour le changement. Dans notre agenda, il y aura des compromis sans compromission bien sûr. Egalement, il y aura des manœuvres pour calmer le jeu. On ne cesse d’arrêter la marche vers la victoire ».

Avant de terminer, M. Biram Dah Abeid, a appelé les électeurs à voter pour les six listes du pôle de l’alternance, avant de remercier les militants pour leur engagement et leur détermination. La veille à Néma, la batha a été le point d’attraction des sympathisants qui ont réservé un accueil chaleureux à l’ancien candidat à la présidentielle de 2019. Les candidats aux municipales, législatives et aux conseils régionaux du Hodh el Charghi et de l’Assaba ont décliné leurs programmes, promis de solutionner les souffrances des populations avant d’appeler les électeurs à voter massivement en leur faveur.

L’étape de Kiffa clôture le périple électoral dans l’est du pays de la tête de liste mixte Biram Dah Abeïd. Samedi, BDA entamera la tournée de la Vallée par Sélibaby avant de rejoindre dimanche Kaédi et Aleg le lundi.

©️ via cridem https://cridem.org/C_Info.php?article=765257

● La Commune de Dafort | Mon Programme électoral 2023 | Par M Bakary Aly Sidibe (candidat du pôle de l’alternance)

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux

La Commune de Dafort | Mon Programme électoral 2023



Notre devise : L’espoir d’une municipalité de transparence et d’équité

Volet 1 : La paix et la concorde sociale dans notre commune.

Élu, je m’engage à initier sereinement un travail collégial pour aborder toutes les frictions sociales et autres tensions dans l’ensemble de nos localités composant la commune. Mon crédo : Discuter, Rassurer et Pacifier nos relations sociales selon la fraternité musulmane et l’entente citoyenne.

Volet 2 : Gestion transparente et Implication des citoyens dans les affaires de la municipalité

Élu, la première activité du conseil municipal sera un audit moral et financier de prise de fonction, je vais y veiller résolument pour asseoir une culture de transparence et de probité dans la gestion des affaires communales. Je m’engagerais pour la mise en place d’une rencontre publique de consultation tous les six mois (6 mois) entre le conseil municipal et les représentants des localités (notables, femmes, associations et jeunes). Un moment privilégié pour écouter et recevoir les propositions et les complaintes éventuelles concernant les affaires publiques. À l’issue je communiquerais personnellement ou ferais communiquer sur les résolutions prises dans nos différentes langues à travers le canal plus largement accessible à tous (par exemple audios WhatsApp). Les recettes liées aux taxes locales seront utilisées prioritairement pour les domaines identifiés à l’issue d’une large consultation entre le conseil et les représentants sociaux. Je ferais des démarches auprès des hautes autorités pour le retour des services administratifs et techniques de l’état civil (Recensement, impression des documents d’état civil) dans la commune.

Volet 3 : Le développement multidimensionnel

Élu, le conseil municipal portera une attention particulière sur les sociétés prestataires dans les domaines suivants : L’eau, l’électricité et les réseaux de téléphonie mobile. Nous exigerons des services de qualité pour nos populations dans toute la commune. Je mettrai en place une approche harmonieuse et transparente de coopération avec les ONG travaillant dans nos localités et celles souhaitant y venir avec des projets de développement socio-économique et culturel. Je m’engage à consulter tous les trois mois (3 mois) les responsables des centres de santé et des établissements scolaires pour recueillir leurs demandes et démarcher en haut lieu pour des solutions urgentes et adaptées.

Je m’engage à démarcher les pouvoirs étatiques (services dédiés) et les ONG partenaires en la matière, pour la création d’établissements socio-culturels dans nos localités pour la jeunesse (Équipements sportifs, bibliothèques, espaces ludiques pour la petite enfance…)
Je ferais une large communication de conseils et d’encouragements en direction des parents d’élèves et auprès d’autres partenaires concernés (La DREN) pour trouver les voies et moyens afin de promouvoir le dynamisme et l’excellence autour L’ÉDUCATION.

Bakary Aly SIDIBÉ, Candidat à la Mairie de la commune de Dafort

À votre service pour rendre la mairie aux citoyennes et citoyens !

4 mai 2023

©️ L’équipe du candidat

● Quelques éléments biographiques de feu Professeur Abdoulaye Bâ de Diawara (Sénégal)

• Né en 1941 – décédé le mercredi 19 avril 2023 à Paris

• Son père : El-haj Bouna Bâ

• Sa mère : Lagane Bonco Dramé originaire du village de Galadé

• Parcours d’apprentissages, d’études et professionnel :

– Cercles d’initiation aux enseignements et de fiqh (jurisprudence) au sein de sa famille (Xaran yimbé et Moissi Ngalé). Cet enseignement lui avait été dispensé par son grand-frère Mohamed Bâ Malado. Ce dernier, aîné de la famille avait pris le relais du cercle traditionnel d’études (Moissi Ngalé) de leur père qui décéda quand le professeur Abdoulaye Bâ était âgé de 12 ans. Dans l’élément vidéo YouTube https://youtu.be/ly_b0MVTHGc datant de 2018 que nous avons exploité comme source, cheikh Abdoulaye Bâ assure que son grand-frère lui avait inculqué de valeurs liées aux études et au respect des enseignants.

Arrivé en France en 1962, il la quitta pour l’Égypte en 1964 pour poursuivre ses études. Il assure n’avoir aucune connaissance ni contacts dans ce pays auparavant. Une fois sur place après diverses prises de contact auprès des services de la représentation diplomatique de son pays, il avait pu intégrer un cursus d’études du système scolaire et universitaire sanctionnant avec un diplôme.

De retour au Sénégal, il intègre l’école normale supérieure pour une formation pédagogique après avoir suivi des cours accélérés en langue française. En sortant il a été affecté comme professeur au lycée Blaise Diagne de Dakar (sur une durée approximative de 20 ans). En parallèle il a assuré des cours d’arabe à l’école normale supérieure comme professeur vacataire. Auprès du cercle traditionnel d’études dans son environnement familial, son statut de lettré diplômé à l’étranger n’avait pas causé de frictions. Il s’est senti soutenu et encouragé notamment par son premier maître-enseignant, son grand-frère Mohamed Bâ Malado.

Dans la communauté sooninké à l’international, il a été une voix respectable et pertinente dans la prédication et le prêche du juste milieu. Conférencier et éducateur, celui qu’on appelle communément Cheikh Abdoulaye Bâ, a rempli sa mission et sa responsabilité à la hauteur de ses compétences et de ses efforts vis à vis de la oumma et en particulier pour le monde sooninké. Qu’Allah l’accueille parmi les âmes vertueuses pour l’éternité, Ameen.

Notre Blog adresse nos fraternelles condoléances à sa famille, au peuple sénégalais et à l’ensemble de la communauté musulmane et sooninke.

©️ Source : éléments tirés d’une interview en date d’avril 2018 par messieurs Bouba Magassa et Abderrahmane Korera, voir l’intégralité via ce lien YouTube https://youtu.be/ly_b0MVTHGc

✍️🏿KS pour le BLOG

● Initiative – Entrepreneuriat | ADA Multiservices vous attend à Cité Plage (Nouakchott)

C’est une nouvelle structure proposant divers services qui ouvrira ses portes ce 8 mai 2023 à Nouakchott (Cité Plage). Elle est à l’initiative de M. Adama Abdi Camara, originaire du village de Dafort.

● Horaires : 9H – 18H

Listés ci-après les différents services que le fondateur de l’agence ADAUTO + ADA FOOD nous assure proposer :

~ Nos services de nettoyage à sec auto

~ Rénovations auto intérieur et extérieur (plastique, cuir, phare)

~ Réparation des pare-brises

~ Chargement des batteries et débosselage sans peinture

~ Diagnostic

~ Location et vente des voitures

~ Vente des produits écologiques pour les voitures

~ Nettoyage des salons à sec + Nettoyage des tapis à sec sans eau

~ Polissage pour la carrosserie des voitures


~ Traitement des rayures sur la carrosserie des voitures

~ Fast food ADA FOOD CAFÉ (Ouvert de 9h à 2h du mardi matin au dimanche)

● Zone : Cité Plage – Carrefour Kaédi après le feu rouge.

● L’opposition politique en Mauritanie : quelles chances lors des élections de 2023 et 2024 ? | Par Ibrahima Diallo


Depuis de nombreuses années, la Mauritanie est confrontée à des défis politiques et économiques majeurs. L’opposition politique a joué un rôle important dans la promotion de la démocratie et de la transparence dans le pays. Avec les élections législatives et municipales prévues en mai 2023 et les élections présidentielles de 2024, l’opposition politique se prépare à relever un nouveau défi.

L’opposition politique en Mauritanie est constituée de plusieurs partis politiques et de deux blocs d’opposition un bloc composé de RAG-SAWAB, CVE – CVE-VR (AJD/MR) , UFP, FRUD, APP entre autres et le second bloc plus proche du pouvoir ( majorité présidentiel) composé de UDP, Tawassoul, Hiwar, RDF, RAVAH pour n’est sité qu’eux, chacun ayant sa propre vision et ses propres priorités pour le pays.
Certains partis sont plus anciens et mieux établis, tandis que d’autres sont plus récents et cherchent à se faire une place sur la scène politique comme la CVE, CVE-VR et le RAG même s’ils ne sont à ce jour toujours pas reconnu officiellement par l’État Mauritanien mais grâce à des Coalitions avec d’autres partis ils arrivent à faire parti de l’echéquier politique.

Lors des élections législatives et municipales de mai 2023, l’opposition politique aura une chance importante de remporter des sièges dans les assemblées locales et nationales malgré les querelle interne au seins même de l’opposition sur fond communautaire (peulh, soninké et haratine) les Olof eux étant quasiment exclus du jeux politique.
Les partis d’opposition ont une forte présence dans certaines régions du pays, en particulier dans les zones urbaines. Ils ont également travaillé dur pour renforcer leur base électorale et pour attirer de nouveaux électeurs notamment au niveau de la diaspora.

Cependant, l’opposition politique doit faire face à des défis importants. Le parti au pouvoir, el Insaf enciennement UPR, a une forte présence dans les zones rurales et dispose de ressources importantes pour mener une campagne électorale comme nous avons puis constaté depuis le vendredi 28avril 2023 à 00h l’ouverture officiel de la campagne; pendantque le député sortant Issa Diawara faisais sont meeting dans une grande et luxueuse salle drapeau et lumière digne des campagnes américaine en compagnie des stars de la chanson mauritanienne comme Demba Tandia ; l’opposition elle se retrouvait dans de petites salle municipaux d’a peine une capacité de 250 personnes, mal éclairé ; certains candidats n’ayant même pas les moyens de tenir un meeting, cela montre la disparité financière entre le parti au pouvoir et certains des partis comme UDP proche du pouvoir, qui bénéfice de moyen financière gigantesque, des voix de l’opposition commence à dénoncer comme étant des moyens de l’État mis à disposition d’un parti et ses alliés.

De plus, l’opposition politique doit faire face à des restrictions importantes en matière de financement et de diffusion de ses messages sur les radios et chaînes publiques , ce qui peut affecter leur capacité à mobiliser les électeurs.

Les élections présidentielles de 2024, étant en ligne de mir l’opposition politique devra se préparer à un défi encore plus grand. Le président actuel, Mohamed Ould Ghazouani, a été élu en 2019 avec plus de 50% des voix, et il est probable qu’il se présentera à nouveau en 2024.

L’opposition politique devra travailler dur pour présenter un candidat fort et pour mobiliser les électeurs pour celà la seule opportunité qui semble s’ouvrir à l’opposition est une opposition avec une coalition élargi pour avoir un(e) seul(e) candidat(e) pour espérer remporter la victoire.

Ibrahima
Diallo
TV TOOBA / NCMnews